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A ce jour, seules Paris et Lille appliquent l’encadrement des loyers, tel que prévu par la loi ALUR. Mais cette loi prévoyait l’application de cette mesure dans les 28 plus grandes agglomérations de France.
Le Conseil d’Etat a annulé la mise en application de la limitation des villes concernées par la hausse des loyers, telle que l’avait indiquée le gouvernement. La loi de mars 2014 par la loi sur l’amélioration pour l’accès au logement (ALUR) portée par l’ancienne ministre du logement Cécile Duflot, doit être appliquée dans 1 151 communes de 28 agglomérations, identifiées comme des zones tendues, où la demande de logements est supérieure à l’offre.
Le Conseil d’Etat indique ainsi que pour modifier une loi, il faut faire voter une nouvelle loi. Le gouvernement ne peut à lui seul définir les amendements portant sur les mesures d’application d’une loi.
Les investisseurs doivent-ils avoir peur de cette nouvelle ? Pas vraiment. Tout d’abord, dans sa mise en application, l’Etat doit créer des observatoires des loyers dans ces 28 grandes villes. Cela prend du temps. Sachant que les élections présidentielles arrivent. Et que bien peu de candidats militent en la faveur du maintien de cette mesure.
Ainsi seul Benoît Hamon serait en faveur du maintien de l’encadrement des loyers. Les professionnels de l’immobilier ne sont donc, pour le moment, que peu inquiets.
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