La crise immobilière n’est pas terminée
NOUVEAUTÉ !Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
Publié le par à 0 h 0
"Le T4 n’est pas possible, s’il n’y a pas des mesures de compensation, d’accompagnement" pour les riverains de l’aéroport, explique lors d’une conférence de presse, Jean-Pierre Blazy, maire de Gonesse (Val-d’Oise) et fer de lance de cette mobilisation.
Prévu pour 2037, le terminal 4 de Roissy-Charles deGaulle, deuxième aéroport européen, prévoit d’accueillir 40 millions de passagers supplémentaires, soit autant que l’aéroport d’Orly. Les travaux doivent débuter en 2021. Une concertation publique vient d’être lancée par Aéroport de Paris au sujet de ce projet redouté par les riverains, qui craignent nuisances environnementales et sonores.
Dans la pétition, portée par neuf communes du Val-d’Oise et de Seine-et-Marne, les élus demandent notamment de "réduire fortement" les vols de nuit, de "définir un plafond de trafic" ou encore de "favoriser l’accès aux emplois de la plateforme aux habitants locaux".
Pour appuyer leur démarche, ils citent l’exemple de l’aéroport de Francfort, troisième aéroport européen, qui a obtenu par une décision de justice en 2012 l’installation d’un couvre-feu entre 23H00 et 5H00.
"En France, il y a des réductions la nuit pour les avions les plus bruyants à Nice ou Toulouse. Ce n’est pas appliqué à Roissy, alors qu’il y a beaucoup plus de population concernée", ajoute Patric Kruissel, vice-président de l’Association de défense contre les nuisances aériennes (Advocnar), qui s’est associée à la pétition.
Selon les pétitionnaires, Roissy enregistre 170 atterrissages et décollages en moyenne par nuit entre 22H00 et 6H00, "ce qui le place en tête des aéroports européens". Un trafic de nuit "en augmentation" qui représente selon eux près de 13% des vols en 2018, contre près de12% en 2017.
NOUVEAUTÉ !Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
L’Observatoire Crédit Logement / CSA a publié son analyse du marché concurrentiel des crédits immobiliers au premier trimestre 2024.
Les services fiscaux ont bien décidé de mettre à contribution les propriétaires bailleurs : tout changement d’occupation d’un bien, même un simple changement de locataire, doit être indiqué (...)
La BCE a confirmé ce jeudi 11 avril 2024 ne pas devoir attendre la FED afin de procéder à sa première baisse de taux directeur. Cette baisse est anticipée pour le mois de juin prochain. L’impact (...)
Le seul indicateur fiable concernant le prix du mètre carré d’habitation sur Paris (PARISQM Index) est en baisse de -12.94% en avril 2024, par rapport à son point haut.
Rien de neuf pour les crédits immobiliers au mois d’avril, les banques baissent très légèrement leur taux, de quelques points de base seulement, mieux que rien, mais pas de quoi inciter à emprunter.