La crise immobilière n’est pas terminée
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
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ADP a proposéune hausse de 2,957%, déjà rejetée en novembre par la commission consultative économique regroupant les compagnies aériennes françaises et étrangères.
"L’augmentation proposée par ADP au niveau des redevances de service public aéroportuaire sur le système d’aérodromes auquel elle conduit dépasse le coût des prestations servies", estime l’ASI dans sa décision en date de vendredi et publiée sur son site.
L’ASI, créée en 2016, examine chaque année les propositions d’augmentation des tarifs des redevances versées par les compagnies aériennes pour financer les services publics aéroportuaires dans le cadre du Contrat de régulation économique (CRE) signé entre les gestionnaires de certains gros aéroports et l’Etat.
La Chambre syndicale du transport aérien (CSTA), membre de la Fnam, la principale organisation professionnelle du secteur aérien, et le Scara (Syndicat des compagnies aériennes autonomes), une autre organisation professionnelle, ont tous deux salué sa décision.
Aéroports de Paris, sollicité parl’AFP, n’a pas souhaité faire de commentaire dans l’immédiat.
"Sur la période 2015-2017, ADP a augmenté son chiffre d’affaire aéronautique de 8%, soit une moyenne de 4% par an, alors que le trafic passager n’a augmenté en moyenne que de 3% par an" sur les aéroports de Roissy et Orly, a indiqué le CSTA dans un communiqué.
Pour Aéroports de Paris, le CRE actuel concerne la période 2016-2020 et les redevances sont soumises à un plafond fixé à 3,5% pour 2019.
La CSTA a souligné que l’ASI a également refusé récemment d’homologuer les tarifs de l’aéroport de Marseille-Provence ainsi que ceux des aéroports de la Côte d’Azur.
sw/tq/LyS
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