La crise immobilière n’est pas terminée
NOUVEAUTÉ !Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
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L’année 2019 s’annonce déjà historique pour les SCPI ! Avec 4,3 Mds€ de capitaux nets engrangés (+78% au 1er semestre 2019 VS 1er semestre 2018).
Au premier semestre 2019, les SCPI ont collecté un total inédit de 4,3 Mds€ d’euros soit une progression de 78% par rapport au premier semestre 2018 (2,4 Mds €). Quant aux acquisitions, elles représentent 3,6 Mds €s dont 1,2 Mds € investis à l’étranger dont 51 % en Allemagne, 13 % aux Pays-Bas, 8,7 % en Italie, 7,7 % en Europe du Nord et 6,2 % en Belgique.
En France, la région parisienne a mobilisé 30,6 % des investissements, Paris 15,9 % et les régions 19,6 %. La diversification géographique est associée à une diversification en termes de typologie d’actifs toujours plus marquée. Ces flux se sont dirigés d’abord, vers les bureaux 2,2 Mds€, les commerces 400 M€ mais aussi la logistique 150 M€ d’euros, les hôtels 252 millions d’euros et les Ehpad pour 131M€.
L’élargissement des frontières et les nouvelles typologies d’actifs sont-ils des gardes fous suffisants pour assurer la pérennité de ce placement ? Les SCPI bénéficient d’un des meilleurs couples rendement/risque du marché mais ce flux de collecte ne fragilise-t-il pas cet équilibre ?
Quels sont les risques d’un marché à si fort engouement ? 3 scénarios possibles selon Linxea.
« Un placement qui fait ses preuves depuis 50 ans pour les épargnants ! ». Le 2ème Observatoire des SCPI de LINXEA démontre que la SCPI conserve un excellent couple rendement / risque malgré une collecte record car les fondamentaux sont bons et en amélioration. Les épargnants doivent appréhender véritablement ce placement comme une source de revenu complémentaire, avec une durée de détention de long terme (20 ans). Ils doivent conserver une épargne de « précaution » afin de ne pas avoir à revendre leurs parts de SCPI en cas de coup dur comme en témoigne l’exemple de la crise des années 90.
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