Notifications FranceTransactions.com
Pour ne rien rater de l'actualité des placements épargne, inscrivez-vous à nos notifications.

Airbnb, Drivy... : les particuliers loueurs pourront choisir de relever du régime général

L’Assemblée a retouché lundi l’article du projet de budget de la sécurité sociale sur l’économie collaborative, pour faire en sorte que les particuliers loueurs n’aient pas l’obligation de s’inscrire comme autoentrepreneurs, mais puissent choisir de relever du régime général.

Publié le  à 0 h 0

2Airbnb, Drivy... : les particuliers loueurs pourront choisir de relever du régime général2

Le texte, quiétait examiné en nouvelle lecture par les députés, prévoit de faire payer des cotisations sociales aux particuliers louant des biens via des plateformes collaboratives, comme Airbnb ou Drivy, au-delà d’un certain seuil de revenus .

A l’initiative du gouvernement, il ne sera finalement pas obligatoire pour les particuliers loueurs de s’affilier comme autoentrepreneur au Régime social des indépendants (RSI), ceux-ci ayant aussi l’option de verser les cotisations liées à leur activité aurégime général.

Cela permettra de "simplifier les démarches des personnes qui exercent ces activités professionnelles accessoires", selon le secrétaire d’Etat au Budget Christian Eckert.

L’amendement adopté permettra également aux quelques 4.000 gîtes ruraux (moins de 10% de l’ensemble des gîtes ruraux) "qui auraient subi un effet de seuil trop important" de conserver un système d’abattement forfaitaire plutôt que de cotiser sur leurs revenus réels, selon le gouvernement.

Les députés ont également décidé, avec l’aval de M. Eckert, et via un amendement socialiste, de supprimer la mention de zonages pour l’application de la mesure, afin qu’elle ait "une portée générale et permanente sur l’ensemble du territoire".

Une question, un commentaire?

💬 Réagir à cet article Airbnb, Drivy... : les particu Publiez votre commentaire ou posez votre question...

Airbnb, Drivy... : les particuliers loueurs... : à lire également

Actualités

La crise immobilière n’est pas terminée

Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.

Airbnb, Drivy... : les particuliers loueurs... : Mots-clés relatifs à l'article