Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
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A fin mai sur les 12 mois écoulés, les prix des appartements anciens devraient avoir progressé de 4,3% et ceux des maisons anciennes de 6,1%, au vu des avant-contrats de ventes enregistrés par les notaires de France sur l’ensemble du territoire.
Ainsi, après une année 2016 "très dynamique", le nombre de ventes de logements anciens a continué de croître : à fin février, 867.000 ventes ont été conclues en 12 mois, soit une hausse de 7,7% sur un an.
C’est là un volume supérieur au record historique de 848.000 ventes, établi l’an dernier.
Ainsi les taux bas soutiennent toujours le marché, en dépit d’une "lente ascension qui ne décourage pas les acquéreurs", commentent les notaires dans leur dernière note de conjoncture.
Les taux d’intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques ont en effet poursuivi leur remontée en mars pour s’établir à 1,51%, soit leur niveau de juillet 2016, selon l’observatoire Crédit Logement/CSA.
Pour les notaires, "l’élément à redouter" pour le marché immobilier ancien, est "une augmentation démesurée" de ces taux d’intérêt, qui "viendrait freiner la capacité financière d’achat et troubler l’équilibre actuel".
Cette hypothèse pourrait se concrétiser en cas de sortie de la France de l’Union européenne et de la monnaie unique, pointent-ils.
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