Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Publié le par à 0 h 0
L’an dernier, le "saut à la relocation" ou hausse moyenne duloyer entre l’ancien et le nouvel occupant du logement, a été de +1,2%, équivalente à celle de 2015 , selon les premières estimations de l’enquête publiées vendredi - avant des résultats définitifs en juin.
Dans la capitale, les relocations se sont conclues en moyenne à 24,90 euros le m2 en 2016, contre 24,80 euros le m2 en 2015 et 19,40 euros le m2 dans l’ensemble de l’agglomération parisienne - un niveau stable sur un an.
Cela "confirme la décélération très nette constatée depuis 2014, mais illustre aussi la persistance de la tension" sur le marchélocatif de Paris, et ce "malgré les mesures réglementaires d’encadrement des loyers, en niveau et évolution".
En effet, cette hausse est trois fois supérieure à celle enregistrée dans l’ensemble de l’agglomération parisienne : +0,4%, soit la plus faible progression depuis 2001, toutefois un peu supérieure à celle de l’Indice de référence des loyers (IRL).
Cette modération de la hausse des loyers résulte en grande partie des décrets annuels de limitation de la hausse des loyers à la relocation, pris chaque été depuis août 2012.
Elle découle ausside l’entrée en vigueur à Paris au 1er août 2015, de l’encadrement des loyers instauré par la loi Alur.
Bien que non soumis à l’encadrement, les loyers à la relocation sont quasi stagné en petite couronne (+0,2%) tandis qu’ils reculaient en grande couronne (-0,6% après -0,4% en 2015).
Ces deux ans de modération des loyers marquent un coup d’arrêt après les hausses imposées par les bailleurs à leurs nouveaux locataires, voisines de, ou supérieures à, 6%, dans l’agglomération parisienne, de 2006 à 2013. En 2014, la hausse avait déjà commencé à décélérer : +2,1% à Paris, +1,3% dans l’agglomération.
Et à Paris, l’envolée des loyers a même été supérieure à 8% de 2007 à 2012, avec un pic de plus de 10% en 2011, selon les statistiques de l’Olap.
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
L’ANAH a publié un bilan catastrophique pour ce 1er trimestre 2024 : seulement 4 % des objectifs de l’année 2024 sont atteints !
Déjà annoncé en février dernier, le plan social du premier promoteur de France, Nexity, est désormais dévoilé dans ses détails.
Comme l’an passé, Laforêt relance son opération Les Prix Bleus, pour tenter de séduire pour les acquéreurs.
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
L’Observatoire Crédit Logement / CSA a publié son analyse du marché concurrentiel des crédits immobiliers au premier trimestre 2024.