Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
Publié le par à 0 h 0
2Observatoire des loyers : les professionnels font de la résistance2
"Nous voulons faire de +Clameur+ un observatoire le plus large possible,mis à jour quotidiennement, qui intègre tous les professionnels de l’immobilier et tous les organismes publics et para-publics qui veulent avoir une base d’observation des loyers la plus fiable possible", a déclaré à la presse François Davy, président de Clameur et du réseau d’agences immobilières Foncia.
Fondé en 1998, Clameur analyse les loyers à partir des données —200.000 baux signés par an, soit 1 sur 6— fournies par des professionnels du secteur, dont les promoteurs Bouygues Immobilier et Tagerim, les réseaux d’agences immobilières Century 21 et Foncia, les propriétaires réunis au sein de l’UNPI, les foncières Nexity et Icade , etc.
Il compte monter en puissance avec notamment l’arrivée récente de l’association Plurience, qui regroupe de grandes enseignes de la gestion/transaction.
"Courant 2014", toutes les données de cet observatoire seront "accessibles au grand public, de manière permanente et gratuite. Cela ne va rien coûter au contribuable", a poursuivi M. Davy lors d’une conférence de presse tenue dans les locaux de la Fédération française du bâtiment (FFB).
Débattu à l’Assemblée nationale à compter de ce mardi le projet de loi de la ministre du Logement Cécile Duflot prévoit d’encadrer les loyers dans les zones dites "tendues".
Dans ces agglomérations de plus de 50.000 habitants marquées par un fort déséquilibre entre offre et demande delogements, les loyers ne pourront excéder de plus de 20% un "loyer médian", calculé grâce aux données collectées par des observatoires locaux des loyers.
Dix-neuf observatoires pilotes ont été mis en place, avant le maillage complet du territoire prévu à la mi-2014.
Leprojet de loi Duflot est contesté par les professionnels, qui le jugent contraire aux intérêts des propriétaires et du marché, mais aussi par les associations de droit au logement, qui l’estiment trop timoré.
Cet été, la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) avait suspendusa participation à ces observatoires, afin de protester contre les propos jugés "méprisants" de Mme Duflot envers les professions immobilières.
La ministre avait notamment accusé, dans la presse, les agences immobilières de facturer "des honoraires élevés ne correspondant pas au service rendu" et reproché à "beaucoup trop de syndics" d’avoir "augmenté leurs tarifs de façon inconsidérée".
Clameur conteste la "flambée des loyers" mise en avant par la ministre du Logement pour réguler le secteur, en faisant valoir que, selon ses données, les loyers de marchén’ont augmenté, depuis 2006, que de 1,4% en moyenne chaque année, soit légèrement moins que l’inflation (+1,6% en moyenne par an).
Cette évolution constitue un "décrochage remarquable, puisque de 1998 à 2006 ces mêmes loyers avaient augmenté de 4,1% chaque année, pour une inflation qui était de 1,8% par an", a précisé l’économiste Michel Mouillart, qui pilote les travaux de Clameur depuis sa création.
ref/fga/ide
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
L’ANAH a publié un bilan catastrophique pour ce 1er trimestre 2024 : seulement 4 % des objectifs de l’année 2024 sont atteints !
Déjà annoncé en février dernier, le plan social du premier promoteur de France, Nexity, est désormais dévoilé dans ses détails.
Comme l’an passé, Laforêt relance son opération Les Prix Bleus, pour tenter de séduire pour les acquéreurs.
Le marché de l’immobilier frémit à peine, ce n’est pas la fin de la crise. La première baisse des taux significative attendue à partir de juin, prochain n’y changera rien.
L’Observatoire Crédit Logement / CSA a publié son analyse du marché concurrentiel des crédits immobiliers au premier trimestre 2024.