Vendre en nue-propriété : une démarche de plus en plus fréquente
Vente en nue-propriété : le marché devrait dépasser les 250 millions d’euros d’investissements en 2024.
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Investir en nue-propriété permet d’acquérir un bien immobilier. En contrepartie d’une "décote importante" de 30% à 40% sur le prix d’achat, vous cédez temporairement l’usage de l’appartement (l’usufruit) à un bailleur institutionnel qui percevra les revenus et supportera les charges pendant une période de 15 à 20 ans.
L’investissement en nue-propriété permet de bénéficier d’un prix d’acquisition plus faible qu’en pleine propriété. Cette fameuse "décote". Ce terme de décote peut être mal interprété. Acheter en nue-propriété permet d’acheter à un juste prix et non pas de réaliser une "affaire". L’acquéreur en nue-propriété ne bénéficiant d’aucun revenu, d’aucun usage possible durant toute la période de démembrement temporaire.
Les investisseurs en nue-propriété sont généralement attirés par un ou plusieurs des points suivants :
Avec la crise immobilière, la commercialisation des biens immobiliers est en forte baisse. Ainsi, comme pour la majorité des programmes neufs en pleine-propriété, la baisse des prix est d’actualité. Les prix proposés pour les biens neufs en VEFA en nue-propriété sont également revus à la baisse. Certains intermédiaires, à l’instar d’Inter Invest, effectuent mêmes des opérations commerciales ponctuelles. En voici une, proposant une remise de 5%, durant quelques jours seulement.
Ce programme est commercialisé notamment via Inter-Invest.
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