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Un petit dépassement du coût de la construction ne peut pas être reproché à un architecte.

Les règles d’installation des notaires, qui choisissent leur successeur, souvent au sein de leur famille, sont examinées par le Conseil constitutionnel, saisi par un particulier qui conteste le droit de présentation en vigueur depuis 1816.

Petite surprise de dernière minute : la publication du projet de loi de finances rectificative pour 2014 a laissé apparaître une nouvelle mauvaise nouvelle pour l’immobilier d’entreprise : la non déductibilité de la taxe sur les locaux à usage professionnel.

La foncière ANF Immobilier, contrôlée par la société d’investissement Eurazeo, s’est dite jeudi en bonne voie pour tenir ses prévisions de croissance pour 2014, après avoir enregistré une progression de 12% de son activité sur les neuf premiers mois de l’année.

La foncière CeGeReal, spécialisée dans l’immobilier de bureau, a enregistré une légère accélération de sa croissance au troisième trimestre, sous l’effet de l’entrée en vigueur de baux renégociés l’an dernier et de l’engagement de la commercialisation de nouveaux immeubles.

Les réactions des professionnels de l’immobilier sont vives face à l’errance de nos dirigeants en matière de politique immobilière. Surtaxe des résidences secondaires, suppression des aides aux primo-accédants, non déductibilité de la taxe sur les locaux professionnels, le secteur de l’immobilier n’avait pas besoin de ce tour de vis pour être en crise...

C’est le titre d’une comédie d’Oscar Wilde - "The importance of being earnest"- qui me vient à regarder ce que devient la politique du logement en France. De toute évidence, notre gouvernement et nos parlementaires ont perdu le sens de la constance et du cap.

Voici des réactions politiques au projet de loi de finances rectificative pour 2014, présenté mercredi en conseil des ministres et en commission des Finances de l’Assemblée :

Depuis le début de l’année, les prix parisiens ont baissé de -3,1% et de -9,2% depuis juin 2011

(le plus haut du marché de l’immobilier).

Les copropriétaires plébiscitent les avancées instaurées par la loi Alur selon un sondage de la CLCV, mais sont de moins en moins satisfaits de la gestion assurée par les syndics professionnels, en particulier les grands groupes, dont ils épinglent l’approche trop commerciale.